Arnaud Theze

C'est une méditation,

une invitation à écouter ce que la nature murmure

quand elle croit qu’on ne l’écoute plus.

C'est un souffle suspendu,

une méditation sur la présence,

là où tout semble s’effacer.

ils sont la mémoire des forêts,

les gardiens d’un monde fragile

que le froid ne parvient pas à figer.

C'est un miroir du temps,

un instant d’équilibre

où tout semble possible.

C'est une halte,

un refuge dans l’immensité blanche,

où la nature veille et apaise.

C'est un hommage à l’effort partagé,

à la beauté rude des hauteurs,

et à la fraternité qui naît dans l’altitude.

Ici, le silence est roi,

et chaque flocon est une bénédiction.

C'est un abri,

une promesse de paix au cœur de l’hiver.

C'est une invitation à l’intimité,

à la chaleur des refuges,

là où la nature offre son silence en partage.

C'est une respiration,

un instant suspendu entre deux mondes.

C'est une ascension intérieure,

un hommage à ceux qui marchent

pour mieux se retrouver.

Les sommets veillent,

témoins muets d’un monde qui respire autrement.

C'est une élévation,

un hommage à la nature dans sa forme la plus pure.

Sous ces cimes bleutées, la vallée respire encore… mais pour combien de temps ?

Chaque maison, chaque sentier, chaque souffle de vent porte la mémoire d’un monde fragile.

Préserver la nature, ce n’est pas un choix, c’est un serment :

sans elle, nous ne sommes qu’ombres sur une terre stérile.

C'est un cri silencieux contre l’oubli,

un appel à défendre ce qui nous fait vivre.

Un pas de plus, et c’est le vide…

Sous les nuages, la terre s’étend, blessée mais encore belle.

Nous sommes tous ce voyageur, au bord du précipice,

hésitant entre la chute et le sursaut.

Préserver la nature, c’est reculer du bord,

c’est tendre la main à la vie avant qu’elle ne disparaisse dans la brume.

méditation sur la solitude fertile,

sur la force tranquille de ce qui reste debout

quand tout autour se transforme.

Ici, le temps s’est arrêté,

pour laisser place à la paix,

à la beauté simple d’un monde qui respire doucement.

C'est une ode à la paix des villages,

à la nature qui veille, et à l’humanité qui se souvient.

Alpes rhétiques occidentales, Grisons (Suisse)

Ardez, Basse-Engadine

C'est une offrande à la forêt,

à sa sagesse ancienne,

et à la paix qu’elle murmure à ceux qui savent écouter.

C'est une ode à l’équilibre,

entre roche et verdure,

entre altitude et profondeur.

C'est un hommage à ces vies discrètes

qui portent, sans le savoir, l’équilibre du vivant.

C'est une invitation à ralentir,

à contempler les merveilles silencieuses

que la nature nous offre chaque jour.